Quand les écrivains publiés parlent de leurs collègues moins chanceux, les stéréotypes sont légion. Prenons le cas de Philip Roth. Dans plusieurs de ses romans, le narrateur est pourchassé par des wannabes déterminés à bénéficier de son capital culturel (Zuckerman Unbound, The Counterlife, et Operation Shylock). Dans Lady Oracle de Margaret Atwood, le protagoniste-poète est harcelé par un poète raté.
Agressifs et collants: les apprenti-écrivains ont décidément un problème d’image. Avez-vous d’autres exemples de wannabes représentés dans des romans, français ou autres?
Les commentaires récents